|
"If Dream Theater had released a 60-minute album only by excluding some of the available titles, Octavarium would easily have been described as a classic of its kind."
|
3/5
|
|
|
This album is off to a really bad start. Even if it has a very good riff and some good vocal melodies, "The Root Of All Evil" is almost an ordinary title in Dream Theater's discography.
The second title may be better but tactically so badly placed! A ballad on the second track, you had to dare. Soft but unfortunately not as touching as what the group had accustomed.
Fortunately, "These Walls" and "Walk Beside You" are very melodic, even if they contain some big riffs. The melodies are memorable, almost pop and Labrie's vocals are perfectly mastered. The Rudess/Petrucci duo is still as competitive and flamboyant as ever, and we get two very catchy tracks that raise the level without fully reassuring.
"Panic Attack" will end the suspense in a matter of seconds. Powerful, this track is a pure marvel. Between Liquid Tension Experiment and the crazy moments of Scenes From A Memory, this song is a continuous delirium. Labrie's vocal is particularly well, the soli are crazy and inspired and the complex rhythmic ensures the thundering aspect of the whole. We waited for 4 songs but Octavarium is finally taking off and in what way!
"Sacrified Sounds" starts very slowly (vocals and keyboards). Without his very cliché lyrics, this beginning would be as poignant as a "Disappear" (6 Degrees Of Inner Turbulance) for example. The middle break takes a completely different turn and we find ourselves in a (almost) instrumental whirlwind of great beauty that recalls the best moments of Scenes From A Memory. Explosive and awesome.
Finally, Octavarium, the pearl of the album, this 23-minute track. After a Floydian beginning, Dream Theater launches into a powerful and very touching varied song. We won't go so far as to call it "A Change Of Seasons" again, but Octavarium is one of the best songs the band has released in a long time.
If Dream Theater had released a 60-minute album only by excluding some of the available titles, Octavarium would easily have been described as a classic of its kind. By the way, prog metal fans, with Octavarium and the new Shadow Gallery, you have the best of the genre on two albums released the same day. Isn't life beautiful? - Official website
|
|
|
TRACK LISTING:
01. The Root Of All Evil - 8:26 02. The Answer Lies Within - 5:32 03. These Walls - 7:36 04. I Walk Beside You - 4:28 05. Panic Attack - 8:13 06. Never Enough - 6:46 07. Sacrificed Sons - 10:45 08. Octavarium - 23:59
LINEUP:
James Labrie: Chant John Myung: Basse John Petrucci: Guitares Jordan Rudess: Claviers Mike Portnoy: Batterie
|
|
|
|
(0) MIND(S) FROM OUR READERS
|
|
|
|
|
Top of the page
|
|
|
(2) COMMENT(S)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
@CROSTDAERGON en parlant d'incompétence, selon certaines sources fiables, la structure de l'album est basée sur les chiffres 5 et 8, correspondant aux 8 notes naturelles et aux 5 notes altérées d'une octave. D'où Octavarium. Rien à voir avec le fait que l'album fait huit pistes... Et je vais m'arrêter là parce que le reste n'est qu'une question de gouts...
|
|
|
|
|
Le chroniqueur qui a écrit cette review n'a décidément rien compris à la première partie de cet album. "The Root of All Evil" s'inscrit dans la lignée de la Twelve Step Suite, une série de morceaux interconnectés écrits par Mike Portnoy sur le combat contre son addiction à l'alcool. De ce fait son principal atout est son rythme à la batterie, qui est on ne peut plus entraînant, d'autant plus qu'il constitue non seulement un excellent point de départ pour cet album, mais également celui de la fin puisque tout comme les dernières paroles d'"Octavarium" l'indiquent, "L'histoire se termine là où elle commence" avant d'entendre de nouveau l'intro du premier morceau. John Petrucci et Jordan Ruddess font preuve d'une harmonie parfaite entre riffs rythmés et accessibles et solos à la fois représentatifs de leurs habituelles envolées instrumentales et simplifiés pour rester raisonnablement accessibles aux moins habitués, et John Myung supporte le tout avec ses lignes de basse rudement efficaces.
Le deuxième morceau, "The Answer Lies Within", est en effet une balade... "il fallait oser", bah non puisque c'est exactement ce que le groupe a déjà fait avec Images and Words et sa deuxième piste, "Another Day". I&W s'étant extrêmement bien vendu et Octavarium (l'album) tentant une approche plus accessible et peut-être commerciale (ce qui n'est pas nécessairement un mauvais choix !!) reproduit ce schéma qui a si bien marché en 1992.
Traiter ce début d'album d'"anodin" alors qu'il y a très clairement une gigantesque disparité sonore non seulement entre les deux morceaux, mais également avec le reste de l'album, montre une ignorance incroyable là où on devrait bien au contraire soulever la diversité dont ce disque fait preuve tout en restant une introduction parfaite pour les non-initiés au prog. Un défi dur à relever, mais pourtant réussi haut-la-main.
"Si Dream Theater avait sortit un album de 60 minutes seulement en écartant certains titres dispensables" mais mdr. "OCTA", ca veut dire "huit" en grec. Donc, huit morceaux. C'est aussi le huitième album studio du groupe. "Octavarium" (le morceau) dure très exactement 24 minutes (et pas 23) et 24 est un multiple de 8. Ce n'est pourtant pas compliqué à comprendre. Donc non, l'album ne peut pas se passer de ces morceaux-là. J'irai même jusqu'à dire qu'ils sont nécessaires car accessibles à un public moins éduqué sur DT et même le prog en général, et cet album est la porte d'entrée parfaite : la preuve, c'est mon tout premier album de prog et depuis j'ai largement étendu mes horizons en écoutant tout un tas de groupes qui ont écrit des albums 1000 fois plus techniques et complexes. Pourtant cela ne m'empêche pas d'apprécier la profondeur des morceaux tels que "Sacrificed Sons" ou l'incroyable "Octavarium" (le morceau) ainsi que la simplicité efficace de "The Root of All Evil" et "I Walk Beside You". Marre de ces reviews qui partent du principe que tous les morceaux d'un album de prog doivent absolument être des chefs-d'œuvre absolus, car cela ne permettrait à aucun d'entre eux de briller. On apprécie justement à quel point les morceaux les plus complexes nous transportent grâce à ceux qui nous font redescendre, c'est bien mieux que d'essayer de nous tenir en haleine tout le long...
Bref je me suis largement étalé mais cette review est tellement incompétente que je me devais de rendre justice à un album qui à mon sens est sous-apprécié. Ça me semble irréaliste d'exiger de DT qu'ils n'écrivent que des albums semblables à Metropolis Pt. 2 qui, bien qu'exceptionnel, n'en reste pas moins dur d'accès pour les néophytes. DT a parfaitement joué son rôle de "porte d'entrée au monde du prog" avec Octavarium, un album qui sait parfaitement doser la subtilité et la grandiosité pour offrir un avant-goût de ce que représente ce genre de musique à ceux suffisamment curieux pour s'y essayer et les recompense avec son morceau éponyme...
Cet album est un chef-d'œuvre, point.
|
|
|
|
|
Top of the page
|
|
|
|
|
|
|
READERS
3.7/5 (25 view(s))
|
STAFF:
3.6/5 (22 view(s))
|
|
|
|
|
|
IN RELATION WITH DREAM THEATER
|
|
|
|
|
LAST INTERVIEW
DREAM THEATER ( FEBRUARY 2019)
|
For the release of "Wired Of Madness", Jordan Rudess' new album, the keyboard player talked with Music Waves about "Distance Over Time" by Dream Theater
|
|
|
|
|
|
OTHER REVIEWS
|
|
|
|
|
OTHER(S) REVIEWS ABOUT DREAM THEATER
|
|