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"Whether "The Dark Side of the Moon" is your bedside record or you're a hard-die Roger Waters fan, save yourself unnecessary suffering and skip this "The Dark Side of the Moon Redux"."
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50 years ago, a band that was to become one of the world's greatest rock bands released an album that was to become one of the best-selling albums on the planet. The band was called Pink Floyd, and the album was none other than "The Dark Side of the Moon". To celebrate this anniversary, Roger Waters came up with the idea of giving this timeless masterpiece a makeover "to re-address the political and emotional message of the album as a whole" and "honor a recording of which Nick, Rick, Dave and I have every reason to be proud".
According to Nick Mason ("Pink Floyd - The Nick Mason Story"), the reasons for the success of "The Dark Side of the Moon" lie in "the power of the lyrics", "the musical quality generated by David's guitar and voice and Rick's keyboards", "the backing singers and Dick Parry's sax" and "the sound quality... exceptional". Of these, only the first and partially the last remain.
He could certainly have added the impact of the melodies. Roger Waters faithfully reproduces the musical framework without any major changes. Unfortunately, the music of "The Dark Side of the Moon" is relegated by the production to the rank of anemic background music, serving as a support for Waters, who alternates monologues and sung parts in a cavernous, monotone voice. The process is far from innovative, having already been widely used in the 70s. If there's any originality, it's in its uninterrupted use from one end of the record to the other. What seems boring after two minutes becomes downright unbearable over the course of an album.
The samples that embellished the original have disappeared. Heartbeats, alarm clocks, cash registers and demented laughter are all gone. More seriously, the guitar, saxophone and drum solos are gone, replaced by vaporous layers of keyboards. The instrumental tracks ('Speak to Me', 'On the Run', 'Any Colour You Like') are all swallowed up by Waters' razor-sharp monologue (the lyrics of 'Free Four' ("Obscured By Clouds") cover 'Speak to Me', for example), which even creeps into the introductions to 'Time' and 'The Great Gig in the Sky'. Only the instrumental bridge of 'Us and Them' is miraculously preserved (an oversight?), even if Dick Parry's magnificent saxophone solo is replaced by a distant organ combined with a few notes of guitar. And what about the treatment of 'The Great Gig in the Sky'? Clare Torry's superb vocals are replaced by indistinct humming, erasing all the emotion the singer had managed to infuse into Richard Wright's composition.
Of course, Waters does add a few little ideas of his own - bird samples here, a few violin notes there, a hint of theremin on 'Time'. But his main innovation lies in the omnipresence of his sepulchral voice to the detriment of the rest, and the album as a whole suffers from a cruel lack of relief and dynamism (just listen to 'Eclipse', which never takes off, for proof). If this cover were the work of an unknown artist, we'd be crying sacrilege. If it were a new creation by Roger Waters, we'd be talking about a lack of inspiration. But when it comes to Roger Waters covering "The Dark Side of the Moon", one can only give in to consternation.
Whether "The Dark Side of the Moon" is your bedside record or you're a hard-die Roger Waters fan, save yourself unnecessary suffering: skip this record. "The Dark Side of the Moon Redux" is a complete failure. - Official website
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TRACK LISTING:
01. Speak To Me (01:54) 02. Breathe (03:22) 03. On The Run (03:47) 04. Time (07:19) 05. Great Gig In The Sky (05:47) 06. Money (07:33) 07. Us And Them (07:36) 08. Any Colour You Like (03:18) 09. Brain Damage (04:55) 10. Eclipse (02:20)
LINEUP:
Azniv Korkejian: Chœurs Gabe Noel: Cordes Et Arrangement De Cordes / Sarangi Gus Seyffert: Guitares / Basse / Claviers / Percussions / Choeurs Joey Waronker: Batterie / Percussions Johnny Shepherd: Claviers / Piano Jon Carin: Claviers / Lap Steel Jonathan Wilson: Guitares / Claviers Robert Walter: Piano (5) Roger Waters: Chant / Basse (8) Via Mardot: Theremin
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Une chose que je n'avais pas écrite, c'est qu'il est manifeste que Roger Waters a manifestement bénéficié, dans son entourage probablement et dans beaucoup de médias, d'une complaisance et d'une obséquiosité écoeurante. Quand je lis les critiques de cet album (dans ces différents médias toujours), positives voire très positives, je trouve qu'elles puent la veulerie et la servilité. Ce n'est pas possible dêtre aussi sourd et aveugle quand on est "critique" aguerri. Je ne remet pas en question le très grand respect que j'ai eu pour lui depuis toujours. Mais il faut rester lucide et appeler un chat un chat.
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On a (enfin ) trouvé celui qui a aimé cet album...
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C'est suave et délicat... tendre et acide, J'adore. C'est ça que j'attendais de lui. Il execute ces ambiances floydiennes vers un au-delà vaporeux, luneux. Et non comme la vulgaire reproduction mille fois tentée. La production est superbe, ce qui ne gâche rien..
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@Thibautk Personnellement, je n’ai aucun ressentiment vis-à-vis de Roger Waters, c’est même un artiste que j’ai vénéré dans ma jeunesse pour tout ce qu’il a fait avec Pink Floyd. Mais là, je maintiens qu’il s’est totalement planté en saccageant le chef d’œuvre auquel il avait contribué. Peu importe si son intention était louable, le résultat est catastrophique, je ne me souviens pas d’un tel plantage chez un autre artiste. Quant à ´The Great Gig in the Sky’, je pense que Richard Wright doit se retourner dans sa tombe : Waters a totalement dénaturé ce titre, comme tout le reste de l’album d’ailleurs. Ce n’est pas un disque anecdotique, c’est une monstruosité de mauvais goût et je m’étonne toujours qu’un artiste puisse se fourvoyer de la sorte sans que personne dans son entourage ne lui dise qu’il va dans le mur. Waters ne nous ayant pas habitués à de tels écarts, je ne suis pas loin de penser comme Tony que la sénilité y est pour quelque chose, ce qui lui ferait au moins une excuse. Il fait désormais partie de ces artistes qui n’ont pas su raccrocher avant de sombrer dans le ridicule.
Quant à ne pas renvoyer dos à dos Peter Gabriel et Phil Collins comme on le fait pour Waters et Gilmour, la différence tient au fait que, chez Genesis, personne n’insulte ni ne vire personne. Les membres changent (c’est la vie d’un groupe) mais ça se passe dans la cordialité. Les multiples agissements et déclarations de Waters vis-à-vis des autres membres de Pink Floyd ne plaident pas en sa faveur et il me semble qu’il a été plus souvent l’agresseur que l’agressé.
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C'est étonnant de toujours renvoyer dos-à-dos Gilmour et Waters, comme si l’on renvoyait sans cesse dos-à-dos Peter Gabriel et Phil Collins ou Phil Collins et Steve Hackett. Je ne comprends pas pourquoi... Waters n'a jamais mentionné qu'il avait été spolié, ou qu’il détestait quoi que ce soit à l’original, de plus il affirme qu'il adore tous les solos de DSOTM. Je comprends sa démarche artistique, même si elle est quelque peu ratée. Il a voulu donner un nouveau sens et un second souffle à une œuvre majeure, un nouvel éclairage sur son sens. Comme Phil Collins a donné un nouveau sens à ‘Supper's Ready’ sur "Seconds Out" ou comme lorsque Steve Hackett revisite Genesis sur ses albums live ou studio - là personne ne lui tombe dessus. Simplement une relecture de l'original. Je ne crois pas que son égo soit un cancer, car il sait le mettre de côté pour produire de superbes albums studios comme "Amused To Death" ou tout est fait pour mettre non pas Waters au centre, mais bel et bien Jeff Beck, ou comme ses propositions live de “The Wall” ou “DSOTM”. Cette dernière version live colle tant à l'original, qu’elle prouve l’immense respect que Waters a pour ce disque qu'il aime au plus profond de lui. Je pense simplement que le temps et la technique de l'époque n'ont pas permis de concrétiser totalement sa vision du disque. Je comprends aussi qu'il est terriblement casse gueule de revisiter un tel classique, mais il s’en moque et tout album doit pouvoir être revisité. Il y a ainsi de bons moments dans ce disque (“The Great GIG In The Sky”), même s'il y en a beaucoup moins bons(‘Money’).. Bref, un disque anecdotique dans la carrière du bassiste, ni bon, ni mauvais, qui ne mérite pas toutes les foudres qui s'abattent sur lui. Au lieu de s'attarder sur ce Redux je vous prie de réécouter "Amused To Death", "Radio KAOS" ou "The Pros And Cons For Hitch Hiking".
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